«Qu’est-ce que j’ai? se disait-il, le cœur lourd. Qui sait? c’est l’angoisse crépusculaire.» (Un Balcon en forêt)
«Qu’est-ce que j’ai? se disait-il, le cœur lourd. Qui sait? c’est l’angoisse crépusculaire.» (Un Balcon en forêt)
A1: Bien sûr qu’il y a des personnes et des choses, pas de petites choses, qui rendent la vie chouette.
A2: Mais j’avais eu, au tournant de 2011 et 2012, cet amour avorté, bref, impossible et tourmentant pour le type de L.A., dont j’ai parlé ailleurs. Toujours la distance géographique a créé contre moi une impossibilité. [...]
Je n’ai pas pris, c’est dommage, de photos des canaux pris par les glaces. Ils avaient, selon l’endroit et l’heure, l’allure de natures solitaires, rendues aux canards et aux brouillards, faisant de la ville un désert nocturne ou une carrière: lugubre, minérale, poudreuse et frisquette ; ou à l’inverse s’agitaient des foules gamines des cours [...]